Vincent

je sais j'ai oublier...
euh enfin j'ai pas oublié mais mon portable n'avait plus de batrie promis je me rattrape jeudi

En parlant de l'ange j'ai révé qu'il s'était teins les cheveux en blancs.
me demande pas pourquoi je sais pas
mais cela s'expliquerais avec ces ailes...blanches
Il faut que j'essayé de les peintre en blanc sur la photo qu'il m'a passé

Bonne idée!
Remarque, il ne serait pas mal, avec des cheveux blancs!
Au fait, tu lui as envoyé la photo?
Si ça se trouve, c'était un rêve prémonitoire!
Il faut lui demander s'il n'aurait pas envie de se teindre les cheveux...

Bon, je ne t'en eux pas le moins du monde pour jeudi, mais je me vengerai sur ton portable, le vilain!
Je lui ferai des grimaces jusqu'à ce que mort s'ensuive!

je lui est envoyée la photo maintenant j'attend un réponce de sa part.
a moins qu'il ne me parle plus

je pense qu'il sera ravi de l'avoir!
Même qu'il risque de te répondre!
Sauf s'il est enterré dans son travail!

comme nous tous, pauvre Clan qui se bat contre nos ennemis: le travail.
A bat le travail :

"Vincs, mon roi, mon ange en qui je crois...
mais dit moi, et tu fait pour lui et tu fais pour moi...
je n'attend 'un signe de toi...
Vincs...
Vincs, j'attend un plus d'un sentiment.."

sorry ce n'est pas une déclaration, j'écouter " Gabreil, mon ange" de najoua Belyzel et j'ai pas pu résister à faire des petites modifications.

eh! voilà c'est un autre week end qui se fini enfin presque.

Et Phedre avec son amour gaga ça me rend moi-meme gaga, enfin dans le sens que j'en ai pleins les bottes de ces répliques.
Racine vous nous...disons vous me cassé les pieds avec Phedre. elle pourrait pas faire ces valises et se barrer si elle pouvait plus suporter un époux à femme et une beaux fils craquant.
Cela m'aurait permit d'avoir la paix pendant ce week end
mais non il a fallu que racine chanche la fin

Cette personne a d'ailleurs été beaucoup moins bien inspirée que toi avec ton remaniement de Gabriel!
Cette musique est très bien, d'ailleurs! Désolée si je ne peux pas répondre à tous les messages, mais Papa vient de rentrer et je ne sais pas si je vais pouvoir garder l'ordi!
Il faut essayer de survivre à la masse de devoirs qui nous accable! Ouin, mais pourquoi est-ce qu'ils nous en donnent autant?

A part ça, j'espère que tu vas bien et que tu t'es remises des âneries que tes profs t'ont sorties à propos des DS.
A tout les coups, ils sont tout bêtement jaloux parce que tu dessines mieux qu'eux.
Bon, sinon, écoutes de la musique et essaie de dormir!
Il faut survivre, quoi.

ouiii! survivre et manger
j'espère que tout va bien chez toi.
Ce matin en accompagnant Flore à la Nat j'ai espèré vous voir mais non. Là seul personne que j'ai vu c'est François avec son frère sortant de leur voiture. (snif)

o fait si tu le vois tu pourrais lui dire bonjour de ma part.
je n'ai pas eu location de le voir au taekwondo. Peu etre que le travail lui prend la tete comme nous tous.

Et toi tu as repris ton sport "yatta"

quicou!!
je t'en passant je me suis dis pourquoi pas?
alors me voilà!

pour le fan du fanstastique voilà le bebut. Je dis bie le début de l'aventure de pilote.

Chimère – livre 2
La Patrouille du sous-bois


La cendre humide sur le sol, reflétait la chaleur de l’incendie du jour précédent. L’air était lourd et empoisonné. Nous marchions à travers un sous-bois dévasté par les flammes et le vent qui avaient inscris leurs signatures dans les écorces des arbres, que nous avions vu grandir et devenir beau.
Plus rien ne resté de la verdure que nous connaissions.
Quelques cimes des vieux chênes, dont étant gamin je grimpais au sommet étaient restés vert. Si peu de ces vieux arbres avaient survécu aux flammes rougeoyantes et si peu allaient passer l’hiver.
Sur le chemin de retour sinistre, nombreux cadavres d’animaux croisaient nos regards perdu : sangliers, oiseaux, lapins et autre rongeurs qui animaient notre bon vieux sous-bois gisaient là, sans que l’on puisse changer quoi que se soit.
Un de mes compagnons, vomissait à la vu de ce massacre. L’épaulant, Sirios jetait des jurons de toutes sortes, dans toutes les langues qui connaissaient. Maudissant les démons qui avaient fait cela.
D’habitude, sa voix nous faisait sursauter mais aujourd’hui, elle nous refroidissait encore plus que nous l’étions déjà. Je sentis pour la première fois, en lui, l'écœurement.
Un tel massacre sur la mère nature était criminel. Mais comment agir de cette sorte sur l’un des plus beau et précieux trésors que la Terre possédait en elle. Pour des pacifiques comme nous, enfin se qui en resté à présent car nous avions changés, s’était imaginable et pourtant on le vivait à cet instant.
Etait-il humain, ce crime sans cœur ? Oui sûrement. Mais pas un de ces habitant qui habitaient autour de nous et qui, à notre arrivée pleuré. Anéantis eux aussi.
Nous réalisions à peine et encore pas tout à fait, qu’il n’y a pas grand espoir que nous retrouvions notre cité et nos familles. Pourvu qu’ils avaient fuis. Cette pensé fut pendant toute la traversée du bois mort notre seul souci et notre seul espoir.
Un silence s’était instauré entre nous depuis un certain temps maintenant. Nous écoutions le silence de la mort qui régnait ici. Plus aucune vie ne courait sur la terre comme dans les arbres. Or mit les pompiers qui éteignaient les derniers foyers résistants aux eaux. Et les corbeaux de malheur parcourant les branches inertes. A leur vue, c’était la haine qui nous envahissait, les poings serrés prêt à leur boucler leur bec. Mais nous passions notre chemin, comme le vent : discret, invisible. Pourtant le sol meurtrit trahissait nos pas :
- Cachez-vous ! criai-je en amenant mon groupe derrière les arbres abattus.
- T’as entendu quelque chose ? demanda l’un des secouristes en observant le désert noir.
- Non, chef.
- Allé, rentrons. Y a plus rien à sauver.
Ils s’éloignèrent de notre cachette. De nos trente centimètre, on n’était pas si discret que cela. On entendit qu’ils disparaissent au loin pour reprendre la route.

C'est excellent! Tu écris aussi bien que tu dessines, et ce n'est pas peu dire. J'aime j'aime beaucoup!
Il faudrait que tu crées un sujet rien que pour des extraits comme ça!
Bon, en tout cas, j'esaierai de dire bonjour de ta part à François!
Je suis désolée qu'on ne se soit pas vues, mais je crois que tu arrives après qu'on est rentré, et comme notre prof de maths, que nous avons très souvent en première heure, arrive tôt en classe, on préfère monter directement.
Tu es géniale! Tu écris super bien, en plus!

En parlant de sport, j'ai enfin réussi à faire des randoris sympas! Au moins ne me suis-je pas fait démollir...
C'est bien, les randoris, en fait!

t'es serieuse quand tu dis que tu aime mon petit début
que je sache bien dessiné je veux bien mais pour se qui est décris j'endoute un peu

aurrait tu exsagérais les

j'enverais la suite alors!
si tu aime autant

Voui, voui, envoie la suite!
Et je suis très sincère dans ce que je t'ai dit! Même si je suis parfaitement incapable de prendre un ton sérieux pour dire les choses en général, il faut écoûter les mots et non le ton stupide avec lequel je les dis!
Par exemple, si je prends mon air le plus stupide et ma voie de gollum, et que je te dis sur un ton carnassier "Je t'aime très fort, Ossséane".
Devine ce que tu dois comprendre!

Il faudra aussi que je te montre certains de mes dessins, je me suis bien amusée à les faire, sauf que maintenant, quand je remonte dans mon carnet à dessins, j'ai du mal... "C'est moi qui ai dessiné ça"

Muhu! du calme!

Donc, envoie-nous la suite, c'est très bon, ce que tu as écrit! Je suis admirative... Et à court d'adjectifs.

Mais pourquoi n'as-tu pas pu nous appeler jeudi?
Dis, dis, tu pourras le faire cette semaine, hein?

Et si tu es à court de bouquins, trouve l'Iliade d'Homère!
A court de musiques, si tu aimes: Advertising Space de Robby Williams. J'aime bien ce genre-là.

Bon, devine ce que je vais faire cette aprés-midi! des maths, gagné!
Nous avons un DS de 4h mercredi. C'est aussi pour ça que j'aimerai que tu appelles le lendemain, pour nous remettre un peu!

Porte-toi bien!